Après le succès critique et publique (totalement mérité) pour Vice Versa en début d’année (voir ma critique de Vice Versa), Pixar passe la seconde avec désormais 2 films par ans (les meilleurs années.)
Est-ce que le génial studio va tenir le rythme et surtout maintenir la qualité ? Réponse dans cette critique du Voyage d’Arlo :
Tout d’abord en préambule, je précise que je n’ai jamais joué à un autre jeu Warhammer mais que ce n’est en aucun cas un frein pour jouer à ce jeu.
Au niveau de la mécanique de jeu, nous sommes en face d’un jeu coopératif à la première personne à quatre joueurs (en gros, un FPC ^^ First Person Coop) comme le très connu Left4Dead. D’ailleurs on sent clairement l’inspiration avec Left4Dead à tous les niveaux : que ce soit les quatre joueurs aux profils différents, les types de missions, les méchants suralimentés, le système de guérison et la fin dans une « boîte » (une calèche à la place d’un hélico par exemple) : l’inspiration est plus que permanente.
La vraie différence se situe au niveau de l’ambiance médiévale au style steampunk qui est très réussie.
Habitués au rôle de scénariste, primé plusieurs fois pour des films de Jacques Audiard (Un prophète, De rouille et d’os et Dheepan), Thomas Bidegain réalise ici son premier film : Les Cowboys
Synopsis :
Une grande prairie, un rassemblement country western quelque part dans l’est de la France. Alain est l’un des piliers de cette communauté. Il danse avec Kelly, sa fille de 16 ans sous l’oeil attendri de sa femme et de leur jeune fils Kid. Mais ce jour-là Kelly disparaît. La vie de la famille s’effondre. Alain n’aura alors de cesse que de chercher sa fille, au prix de l’amour des siens et de tout ce qu’il possédait. Le voilà projeté dans le fracas du monde. Un monde en plein bouleversement où son seul soutien sera désormais Kid, son fils, qui lui a sacrifié sa jeunesse, et qu’il traîne avec lui dans cette quête sans fin.
Pour un premier film, c’est peu dire que le réalisateur fait fort, à plus d’un titre. Déjà le scénario est plus profond qu’il n’y paraît, avec (sans spoiler) une première partie du film assez sombre où François Damiens apparaît dans un rôle inédit et une seconde partie moins étouffante, avec de beaux paysages.
Je possède une souris Rival de Steelseries depuis quelques années, je l’utilise au taf pendant 8h par jour et je peux vous dire que c’est de la qualité !
Du coup j’étais curieux de découvrir les nouveaux produits de la gamme 2015. Aujourd’hui sur LegolasGamer, voici le test de la petite dernière et son positionnement prix particulièrement intéressant, la Steelseries Rival 100 ! Je l’ai utilisé pendant une semaine non-stop et voici mon avis :
« Allô maman, je t’appelle du futur, enfin pas vraiment mais j’ai touché du doigt le turfu et c’est dingue ! »
Voici en quelques mots ce que j’ai pensé de cette expérience. Mais revenons au début.
A la Paris Games Week 2015, HTC propose au public de tester son casque VR (en partenariat avec Valve) assis dans un siège avec un joystick dans la main et une sorte de clavier réduit dans l’autre pour jouer à un jeu de tir spatial. Ça a l’air cool mais dans l’espace presse j’ai pu tester quelque chose de bien plus immersif ! Je suis seul dans une pièce de 4 mètres sur 3 environ avec juste un pc dans un coin et 2 capteurs de chaque côté de la pièce. La grosse différence avec ce que j’ai pu tester pour le moment en VR (Réalité Virtuelle), c’est qu’ici je peux me déplacer physiquement dans l’espace. Quand j’approche à 40 cm d’un mur, je vois apparaître dans le casque un mur virtuel qui me permet d’éviter de me blesser. C’est bien fichu et on pourra délimiter son espace comme on voudra.
Une hôtesse m’équipe du casque HTV Vive, me met le casque audio et je découvre une image neutre à l’écran. Tout d’un coup, elle me tend les game sticks qui ressemblent à un PS Move sans la boule lumineuse, avec une gâchette mais en plus une zone tactile pour le pouce. Ce qui est déjà bluffant, c’est que je le vois arriver en virtuel, elle me le tend et je l’attrape en virtuel comme en réel. Les sticks répondent parfaitement et sont totalement fidèles au modèle 3D. Et c’est parti pour plus de 25 minutes de démo plus folles les unes que les autres.
Récemment j’ai été invité à une soirée gaming organisée pour la présentation de la gamme spéciale gamer de chez Acer : Acer Predator. Une soirée fort sympathique où on pouvait découvrir PC haut de gamme, tablette et PC portables, ainsi qu’un vidéoprojecteur. j’y reviendrai plus en détail plus bas.
D’univers poétiques en réalités plus glaçantes, Luc Jacquet continue son bonhomme de chemin à travers des films à la fois poétiques et intelligents. Aucune surprise de le voir adoubé par ses pairs dès son premier long métrage (Oscar pour la marche de l’empereur). Son petit nouveau, La Glace et Le Ciel, apparait vite comme le plus personnel et sans doute le plus tragique. Le plus réussi ?
La glace et le ciel dépeint à travers des images d’archives (ponctuées de prises de vues modernes) la vie et le cheminement de Claude Lorius, Glaciologue Français parmi les premiers à avoir fait le lien entre la concentration en CO2 et le réchauffement climatique, mettant en lumière son dérèglement.
Cette année la licence PES fête ses 20 ans, oui 20 ans déjà même si le jeu s’appelait International Superstar Soccer à l’époque puis ISS Pro et enfin Pro Evolution Soccer. Retrouvez d’ailleurs mon compte-rendu de la soirée des 20 ans de PES.
Chaque année les tests mentionnent le retour du roi, référence à la traditionnelle lutte pour la première place entre PES et FIFA. Après un vrai retour en grâce l’an dernier malgré pas mal de défauts, Konami a revu sa copie pour proposer enfin un PES digne de ce nom ! Hélas de nouveaux défauts sont apparus, paraît que plus le jeu est bon, plus on est exigeant ^^
La chose qui frappe d’entrée en jouant à PES 2016, c’est la fluidité du jeu. Fini les ralentissements à l’engagement, bonjour les animations hyper réalistes. Jouer à un PES n’a jamais été aussi plaisant, aussi fluide dans la construction du jeu. Peut-être même un peu trop, on a l’impression de voir jouer le Barça à chaque fois. Ce qui frappe par rapport à PES 2015, c’est que les appels de balle des attaquants sont enfin efficaces, ils se déclenchent au bon moment et l’IA agit enfin de façon réaliste.